jeudi 26 février 2015

Hollywood Boulevard (of Broken Dreams)

Il fallait y aller. On ne pouvait pas passer à côté. Au moins faire UNE visite bien touristique à LA. Et puis, oui, j'avoue, je voulais voir les Etoiles. Et qui sait, tomber nez à nez avec Johnny Depp (Pourquoi je mets un lien, moi ?? Tout le monde connait Johnny...)

C'est donc chose faite.

 


Et la déception est douce-amère. Parce que j'ai quand même jubilé lorsque je suis tombée sur certaines étoiles, et que je peux dire maintenant :
"I walked the Walk Of Fame".








Mais ça s'arrête à peu près là. Parce qu'Hollywood Boulevard, c'est plutôt décevant. D'où le Broken Dreams, et puis en passant un petit hommage à l'un des groupes qui a marqué mon adolescence.

Ce boulevard n'est pas aussi majestueux que je l'aurais imaginé, bien qu'à la nuit tombée, avec toutes ces lumières, il prenne une autre dimension. Et puis, les solliciteurs qui nous arrêtent tous les dix mètres pour proposer des "VIP tours of celebs houses"... Pas vraiment notre trip de monter dans un camion décapotable pour aller entrevoir les maisons de gens blindés de thunes, quand à chaque coin de rue, il y a des SDF bien mal en point.

C'est ça la réalité aussi de la Californie : beaucoup pensent que la misère est moins pénible au soleil, mais elle semble surtout bien plus présente et plus terrible.

J'ai quand même de la chance : j'ai la chance de croiser Johhny Depp. Quatre fois.





Et une Marilyn noire. Et Freddy Krueger.


Et Spiderman. Trois fois aussi, mais il n'a pas l'air bien.

Bizarrement, chaque personnage me fait signe de venir prendre des photos avec lui, main très haut levé. Je regarde mes clichés... Bah oui... La main devant le visage, parce que les photos avec eux, c'est leur gagne-pain...

Sur le fameux boulevard, on voulait aussi découvrir le Chinese Theater, portail majestueux s'il en est. C'est un nouveau fail : un attroupement à côté, des barrières de sécurité, des Men In Black, des spots... On est à côté du du Hard Rock Café, ça sent l'arrivée imminente de stars, vu la nuée de paparazzis du dimanche qui s'agglutine sous l'immense affiche de Will Smith... Dommage, on n'aura qu'une vue partielle de ce beau bâtiment.


On finira par repartir par des rues parallèles, et tomber nez à nez avec des petits écureuils dans un fourré... Pas farouches !



Ces rues-là sont plus typiques, moins bling-bling, et ça nous console un peu, car pendant un moment, on a vraiment cru développer une allergie à Los Angeles...


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire